Texte :
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi…
Minuit sonne et les plus grandes peurs résonnent
Dans les esprits…et les gens déraisonnent…
Rien ne fonctionne…quand sectionne…
Peurs primaires…des sorcières…d’un bestiaire…
S’accélère rythme vasculaire
Face aux peurs tentaculaires
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t’enfuir au loin, sachant que c’est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c’est pour ta vie, nul n’entendra tes cris
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi…
Dès que la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s’abandonne
Pendant que l’horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l’abri de l’orage qui sonne
Crie jusqu’à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Avis concernant les somnambules…
Habitués aux ténèbres et crépuscules
Quand face à rien d’ordinaire ils ne reculent
Qu’ils s’interrogent au fond sur les monticules
Marquant cette colline, hémoglobine en rivière qui s’y achemine
Ames sans peine…par centaines…vidées du sang dans leurs veines
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t’enfuir au loin, sachant que c’est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c’est pour ta vie, nul n’entendra tes cris
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi…
Refrain #2
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
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